Pour la majorité d’entre nous, très jeunes on nous a vendu l’idée d’envisager l’échec comme une défaite, un fiasco digne d’un raté. Au contraire, pour réussir, il faut davantage « tomber en amour avec l’échec ». En posant la question suivante à plusieurs personnes en affaires qui réussissent : « Quelle serait la première chose à faire pour atteindre un objectif élevé ? »; certains m’ont répondu quelque chose comme : « Vite, fais le plus d’essais possibles pour apprendre de tes erreurs ! »

Bien sûr que pour gagner en crédibilité et se frayer rapidement une place; quoi de mieux que d’accroître le nombre d’actions. Toutefois, ce qui fait la différence au bout du compte et qui finit par être gratifiant, ce sont les enseignements que l’on retire en étudiant les réponses des insuccès. Donc, il vaut mieux courir vite et cumuler le plus grand nombre d’échecs possibles, et de ce fait, observer aussi ses bons coups.

Nous avons tous une vision du succès qui prône de s’éloigner des échecs, d’éviter l’erreur. Ce qui est étonnant est que c’est complètement à l’opposé que se trouve le succès. L’inverse de la perception commune s’avère la bonne vision. D’ailleurs, ne pas suivre le courant, ne pas suivre la masse est la meilleure manière de se différencier. Il est bon de se souvenir que même les poissons morts suivent le courant.

Le premier président de IBM, Tomas J. Watson, avait déjà dit : « La clé du succès est d’avoir des échecs de façon massive. » C’est une vérité qui n’a donc rien de nouveau. Elle n’a simplement pas la faveur populaire. Alors, lorsque l’on court pour atteindre des buts, il serait bénéfique de penser en termes « d’échouer le plus possible, le plus vite possible et le plus gros possible ».

Peu importe le domaine, pour n’importe quel niveau de succès à atteindre, il faut s’étirer pour sortir des sentiers battus, se retrouver dans une position pour recommencer et combattre de nouveau dès que l’on a subi un revers, puis faire face de nouveau à l’échec encore et encore. C’est uniquement ainsi qu’on se crée une solution gagnante, un succès. C’est ainsi que la récompense, la prospérité et l’expansion en affaires s’atteignent. Il en est de même pour toutes les autres facettes ou les autres projets de vie.

Jeff Besos l’exprimait en ces termes : « l’échec, c’est l’expérimentation ». Le chemin d’un grand succès technologique suit une séquence d’expérimentation permettant d’apprendre. Il s’agit de l’approche scientifique. C’est avec cette approche que Amazon s’est démarqué, jusqu’à devenir un leader mondial dans le commerce électronique.

Semer les graines de la réussite en affaires

Curieusement, courir après l’échec (par des expérimentations) finit par aboutir au succès. Par voie de conséquence, l’échec est un complice très intime de la réussite en affaires. Alors, un conseil : soyez un inséparable de l’échec, il est un excellent enseignement. Toutefois, vaut mieux se souvenir qu’il n’est pas un maître.

Les gens que l’on voit sur les premières pages des magazines à succès se sont tous placés dans des situations d’échec avec des initiatives nouvelles, puis, de façon répétée, ils ont trouvé des solutions pour passer au travers du circuit de tests. Rares sont les succès instantanés. En science, on appelle ça des « expérimentations ».

Les performants tels que : Jeff Bezos, Céline Dion, Wayne Gretzky, Madonna, Warren Buffet, Henry Ford et Mark Zuckerberg cherchent à faire plus d’expériences pour découvrir les limites de leur potentiel actuel de façon à connaître davantage leur capacité à découvrir de nouvelles avenues pour aller plus loin.

En réalité, ce qu’on observe, c’est que la série d’expériences donne l’occasion de tester et de réajuster de nouvelles approches pour s’améliorer petit à petit. Pour la majorité d’entre eux, c’est presque une obsession. En lisant à leur sujet, on constate que leur point commun est qu’ils visent le dépassement de leurs limites. Lorsqu’ils y arrivent, cela leur procure une grande satisfaction.

Si vous cherchez à connaître une réussite en affaires, je vous invite à tomber en amour avec l’échec. Pourquoi ne pas en faire une collection ? Courez le plus grand nombre d’échecs, le plus vite possible et les plus gros possible.

Bon succès grâce à vos échecs!

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Louis Belleau

Entrepreneur scientifique à longue expérience d’affaires.

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