Le travail autonome et l’entrepreneuriat sont, on dirait, très en vogue ces temps-ci, mais pas seulement parce qu’ils offrent une grande liberté. C’est aussi bien reconnu comme parcours, puisque de plus en plus de plateformes existent sur le Web pour aller chercher vos clients, ces plateformes sont de véritables « sites de rencontres » entrepreneur-client.

De votre côté, êtes-vous un entrepreneur sur le Web ? Si oui, faites-vous affaire avec une plateforme en particulier ? Comment sélectionnez-vous la plateforme avec laquelle vous traitez ?

Comment sélectionnez-vous vos clients sur le Web ?

Mon approche classique

Même si j’écris beaucoup sur la technologie, je suis une personne qui pense encore que le contact en face à face est le meilleur moyen d’obtenir de nouveaux mandats, qu’on parle d’associations de gens d’affaires ou de formations de groupes.

J’avoue tout de même que, de nos jours, il est possible de faire des affaires honnêtes sur le Web. Comment s’y prendre ?

Il vous faut identifier sur une feuille de papier tout ce que vous aimez ou n’aimez pas sur une « plateforme d’entrepreneuriat ».

Pour les nommer

Je parle de plateformes. Je me rends compte que le terme est très vague. Je vais donc vous les nommer.

Pige Québec : vous avez l’embarras du choix pour les clients et les mandats que vous voulez aller chercher. Cependant, beaucoup d’utilisateurs sont sur la plateforme, ce qui n’est pas mauvais en soi. Le défi est alors de se démarquer de tous les autres concurrents sur les diverses offres de projets.

Agent Solo : vous avez ici une autre plateforme bien québécoise qui a été fondée par de véritables spécialistes, vraisemblablement ! Agent Solo vous permet de diviser votre soumission en plusieurs points. À chaque étape, on vous guide avec des instructions. Votre soumission, alors, ne peut faire autrement qu’être bonne ! Mon bémol personnel est l’impossibilité d’afficher toutes les catégories de mandat en même temps.

Freelancer.com, et autres plateformes internationales : vous voulez faire des affaires à l’international. Parfait ! Soyez aussi prudent, car vous avez bien peu de moyens de savoir si votre interlocuteur est honnête, ou s’il est vraiment celui qu’il prétend être, s’il habite à l’autre extrémité du globe. Des histoires de partenariats d’affaires fructueux peuvent être possibles, je ne le nie pas.

Le nombre de ces plateformes est grandissant. Le nombre de vos clients potentiels s’élargit, lui aussi !

En tirer profit

Dès que vous avez validé que l’entreprise avec laquelle vous traitez est bien réelle (vérifiez par exemple son inscription au Registraire des entreprises du Québec ou ses références) et que vous savez que vous parlez bel et bien à une personne qui travaille pour cette entreprise (demandez d’autres preuves, par exemple, en appelant l’entreprise concernée afin de demander si vraiment on a sollicité vos services par l’intermédiaire de la plateforme Y), vous pouvez amorcer un projet dès que l’offreur de contrat vous a montré son intérêt !

Conclusion

Le Web avec B2B Quotes, Pige Québec, Agent Solo et autres vous offre cette opportunité d’aller chercher vos clients tout en demeurant assis sur votre canapé ! Le marché est par contre très compétitif sur le « .net ». Vous percerez avec vos talents et votre expertise personnels et professionnels !

Par contre, il n’y a rien de mieux que de contacter vos clients en personne, d’aller les voir. Bien sûr, je ne vous dis pas de cogner à toutes les portes de votre quartier !

Il existe de nombreuses associations d’entrepreneurs à travers le Québec. Trouvez le groupe le plus près de votre domicile, inscrivez-vous et allez-y avec vos cartes professionnelles ! Rien de mieux que de serrer les mains de potentiels clients ou de conseillers en affaires pour tisser des liens avec des gens de VOTRE milieu.

Il vaut parfois la peine de sortir de chez soi pour rencontrer les gens d’affaires et concevoir ainsi une bonne idée de notre positionnement par rapport à notre compétition !

Je ne suis pas contre un mélange des deux approches : en personne ET sur le Web ! C’est cette méthode que j’ai développée avec le temps. Le meilleur des deux mondes est alors à votre portée !

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Ricky Girard

À 24 ans, Ricky Girard termine son Cégep en comptabilité et gestion avec succès. Ensuite, la même année, il décide de corriger des textes d’une longueur de 100 à 200 pages pour explorer ce domaine qui l’a toujours passionné, la langue française.

Puis, il réunit deux champs d’intérêt : comptabilité et écriture! Ayant publié plusieurs livres avant d’officiellement se lancer en affaires, il a maintenant les outils nécessaires pour mener à bien son projet entrepreneurial.

En 2017, Corrige-tout naît officiellement! Cessant d’établir sa marque de commerce avec son prénom et son nom de famille, Ricky, qui a alors 27 ans, nomme son entreprise…

Puis, l’année 2018 se couronne de succès, car Corrige-tout cumule de multiples mandats en tenue de livres comptables et en rédaction, bien que sa première orientation ait été de corriger les textes des autres!

De façon générale, Ricky est travailleur autonome et entrepreneur depuis bientôt 5 ans!

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