Pour lire la première partie.
Votre entreprise… en santé !
On dit souvent que le travail c’est la santé. Mais en tant qu’employeur, vous pouvez faire un pas de plus et vous démarquez de la concurrence en vous penchant sur la santé et le mieux-être de vos employés. Saviez-vous qu’au Québec vous avez le choix entre trois normes pour votre entreprise ?
Il y a la norme « entreprise en santé », la norme « conciliation travail-famille » et la norme « Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail ».
Ces normes sont facultatives et vont bien au-delà des obligations en matière de santé et de sécurité. Elles démontrent l’engagement de l’employeur dans le mieux-être de ses employés qui, en retour, s’engagent davantage dans le succès de l’entreprise.
Pourquoi la rémunération indirecte ?
La réponse : l’optimisation fiscale !
La principale dépense d’une PME, c’est généralement les sommes octroyées à la rémunération de ses employés. Cette composante est appelée la « rémunération directe ».
Sur cette rémunération, il y a de l’impôt à payer et des charges salariales, les fameuses DAS.
Par contre, la rémunération indirecte, que ce soit un régime d’assurance collective, un régime de retraite ou d’autres gratifications (comme le programme Opus+), permet aux employeurs d’augmenter la rémunération nette de ses employés sans nécessairement augmenter ses dépenses.
Cela vient du fait que certaines des sommes versées par l’employeur ne constituent pas un avantage imposable à l’un ou l’autre des paliers d’imposition. Vos employés n’auront pas à payer d’impôts sur ces montants, alors que l’entreprise pourra les déduire de ses revenus.
Et comme si ce n’était pas suffisant, il existe des programmes gouvernementaux qui vous permettent de réduire certaines charges sociales si vous offrez certains types d’avantages sociaux à vos employés.
Bref, ne négligez pas la rémunération indirecte, elle pourrait vous faire économiser gros, sans compter l’impact qu’un bon régime aura sur l’engagement de votre personnel !
